« Cette évaluation met en avant une amélioration de la qualité de l’air de l’ordre de 20 à 30% dans l’agglomération parisienne, consécutive à une baisse des émissions de plus de 60% pour les oxydes d’azote », conclut Airparif dans son bilan provisoire de la semaine du 16 au 20 mars derniers. L’impact du confinement était peu visible lors des premiers jours de confinement sur les particules PM10 et PM2,5, mais il devrait s’accentuer le long des grands axes de circulation.
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La baisse de 60% des émissions d’oxydes d’azote a été constatée malgré une augmentation du chauffage résidentiel. « Cette baisse est liée en grande partie à la forte diminution du trafic routier et aérien », est-il précisé. La baisse du trafic routier atteint -70% et celle du trafic aérien -50%.