Diebold Nixdorf France reste autonome dans la gestion de ses déchets électriques et électroniques

Le fabricant d’automates bancaires Diebold Nixdorf France obtient le renouvellement de son agrément pour la récupération et le traitement des déchets des équipements électriques et électroniques (DEEE) issus de ses activités « Retail et Banking ».

Partenaire des institutions financières, Diebold Nixdorf gère chaque année la récupération, la réparation et le réemploi des pièces des solutions que ce fabricant d’automates bancaires commercialise. Des missions pour lesquelles il obtient de nouveau l’agrément de gestion des DEEE, lui permettant ainsi de certifier ses actions et de valoriser cette démarche officiellement auprès de ses clients pour une durée de six ans.

L’entreprise a présenté le 10 novembre auprès de l’Ademe et de la CIFREP - Commission Inter-Filières REP (Responsabilité Élargie des Producteurs), les résultats obtenus par sa démarche de gestion de ses déchets des équipements électriques et électroniques en France. Une présentation positive qui lui a valu l’accord de renouvellement de son agrément par les représentants des syndicats de producteurs et recycleurs ainsi que les représentants des associations citoyennes. Désormais, Diebold Nixdorf continuera son mode de gestion des DEEE pour six ans pour les gros équipements (ATMs et SCOs) et pour trois ans en ce qui concerne les écrans et petits équipements électroniques. « Cet agrément nous engage sur des objectifs très importants avec notamment des taux de DEEE supérieurs à 65 % (en kg) à partir de 2024 », précise Guillaume Hatt, Area CI & Service Performance Manager chez Diebold Nixdorf.

Ses clients peuvent ainsi s’assurer de la sécurité de la gestion des informations, d’une destruction contrôlée des composants des solutions et d’une gestion des déchets respectueuse de la législation. « Le mode opératoire actuel de Diebold Nixdorf France pour la gestion de ce type de déchets est une valeur ajoutée pour l’entreprise, et une source d’économies sur une gestion de bout-en-bout de nos solutions », conclut Guillaume Hatt.