Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Biodiversité > Ressources halieutiques françaises : 27% des volumes pêchés en 2018 sont issus de stocks surpêchés
BIODIVERSITÉ

Ressources halieutiques françaises : 27% des volumes pêchés en 2018 sont issus de stocks surpêchés

PUBLIÉ LE 5 FÉVRIER 2019
E.G
Archiver cet article
Ressources halieutiques françaises : 27% des volumes pêchés en 2018 sont issus de stocks surpêchés
Selon le bilan des ressources halieutiques françaises en 2018, établi par l’Ifremer, seuls 48% des volumes pêchés en France sont issus de stocks de poissons exploités durablement et 27% sont issus de stocks surpêchés.

Les évaluations effectuées par l’Ifremer concernent environ 200 : 48% des volumes pêchés sont issus de stocks de poissons exploités durablement et 27% sont issus de stocks surpêchés. « Le reste est constitué d’espèces non classifiées ou non évaluées », précise l’Ifremer dans un communiqué.

PUBLICITÉ
Cabillaud, bar et merlu 

L’Ifremer rappelle qu’un stock « est défini comme la partie exploitable d’une espèce dans une zone géographique donnée, les eaux françaises étant découpées en une dizaine de zones ». Exploité durablement, la pression de pêche ne dépasse pas celle permettant d’obtenir le rendement maximal durable, « tout en limitant le risque d’altérer ses capacités reproductrices », est-il précisé. Parmi les stocks surpêchés en 2018, on trouve notamment le cabillaud en mer du Nord et en mer Celtique, ou encore le bar. « En Méditerranée, la situation reste globalement préoccupante, avec peu de stocks évalués et plus d’espèces surpêchées (le merlu par exemple) que bien exploitées (comme le thon rouge) », alerte l’Ifremer.

Les stocks en situation favorable en 2018 sont également soulignés : la baudroie blanche en mer Celtique et dans le golfe de Gascogne ; la coquille Saint-Jacques, « qui fait l’objet d’un suivi particulier en baie de Seine et en baie de Saint-Brieuc », est-il précisé ; la sole ; ou encore le merlu dans le golfe de Gascogne.


Bateau de pêche en entrée du port de Sauzon (Belle-Île-en-Mer, Morbihan, France), port de pêche et de plaisance / Franck-fnba / Wikimedia Commons
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
La BEI et CDC Biodiversité signent un partenariat pour étudier le placement de crédits biodiversité
La BEI et CDC Biodiversité signent un partenariat pour étudier le placement de crédits biodiversité
Philippe Mauguin reconduit à la présidence d’Inrae
Philippe Mauguin reconduit à la présidence d’Inrae
Continuum : un club local des entreprises pour la biodiversité en Drôme-Ardèche
Continuum : un club local des entreprises pour la biodiversité en Drôme-Ardèche
Compensation écologique : une « foncière de biodiversité » créée par la CDC biodiversité et la Banque des territoires
Compensation écologique : une « foncière de biodiversité » créée par la CDC biodiversité et la Banque des territoires
Tous les articles Biodiversité
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS