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EAU

Avec les derniers produits mis sur le marché, ou en développement, les acteurs de l'eau vont avoir accès à des techniques d'analyses plus rapides, plus sûres, plus compétitives.

PUBLIÉ LE 1er JUILLET 2013
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Hydroplus
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Traitement de surfaces métalliques : deux unités de démonstration en service Le projet européen MetalWater, coordonné par la société TMW Technologies, doit développer un nouveau procédé pour réduire le coût de traitement des eaux usées issues du traitement des surfaces métalliques. TMW Technologies a installé deux modules Ecostill d'une capacité de 1 000 litres par jour sur le site des deux partenaires industriels afin de tester son procédé d'évaporation et de concentration des effluents. Ecostill est un évaporateur modulaire qui fonctionne à pression atmosphérique et sans pression ou vide. Il concentre les déchets liquides issus du traitement de surfaces et produit une eau déminéralisée réutilisable.  Convertisseur miniature intégré dans la sonde Avec sa nouvelle gamme Smartsens, Krohne lance des sondes de mesure qui fonctionnent sans convertisseurs. Les sondes classiques (analogiques ou numériques) nécessitent un convertisseur externe pour traduire les signaux de la sonde pour le système de contrôle-commande. Or, ce convertisseur représente la principale source d'erreurs dans la chaîne de mesure. Krohne l'a donc miniaturisé et installé dans la sonde. Celle-ci peut ainsi être connectée directement au système de contrôle-commande via le protocole Hart universel. En vue, une vraie économie pour l'utilisateur puisqu'un convertisseur coûte environ 1 000 euros. Krohne vise plusieurs marchés, dont celui de l'eau. La gamme Smartsens s'utilise pour mesurer le pH, le potentiel redox, la conductivité, les teneurs en chlore et en oxygène. Détecter vite les micro-algues toxiques L'Ifremer de Brest a développé un test rapide, fiable et quantitatif pour détecter la présence de la micro-algue toxique Alexandrium minutum dans les eaux de mer. Ce test immuno-chromatographique se présente sous la forme d'une bandelette : il suffit de tremper une extrémité dans l'échantillon d'eau de mer et les micro-algues migrent jusqu'à la ligne d'anticorps, couplés à des billes magnétiques. Un lecteur magnétique permet d'estimer la quantité d'algues. Ce test, qui ne demande pas de connaissances spécifiques, est réalisable en trente minutes. Actuellement, les tests durent au moins deux heures et sont peu fiables. Mis au point par la société Magnisense et le CEA, ce projet, dit Adequat, a été présenté aux Rencontres Ecotech, organisées par les instituts Carnot et le Pexe, au printemps. Dès cet été, des essais en conditions réelles seront organisés avec les laboratoires de surveillance. Luminomètre pour ATP-métrie Aquatools distribue Photonmaster, le nouveau luminomètre de la société LuminUltra. En réduisant l'investissement à moins de 2 200 euros, l'objectif d'Aquatools est de permettre au plus grand nombre d'accéder aux techniques de quantification de l'ATP qu'elle propose pour l'eau potable ou les eaux usées. L'ATP est une molécule indispensable à la vie microbienne et sa concentration est directement liée à la quantité de micro-organismes actifs et vivants. Sans batterie, l'appareil se connecte à un ordinateur via une clef USB. Le logiciel LuminCal, à télécharger, permet de gérer l'acquisition des données en unité relative de lumière (URL). Conçu pour un usage terrain, il est compact et léger.  La truite fario, indicateur de la qualité de l'eau Évaluer le degré de pollution d'une rivière par l'analyse de sang d'une truite, c'est le but du projet de biomarqueur sentinelle développé au sein d'Ertica et du LMGE à Clermont-Ferrand. Le sang de la truite fario contient deux sortes de protéines : celles dite de garde, présentes en permanence, et celles de défense, présentes en cas de pollution, dont l'expression varie en fonction de la quantité de polluants. Le procédé permet donc de déterminer indirectement le degré de contamination du milieu. L'outil se veut complémentaire des indicateurs déjà utilisés, comme l'IPR (indice poisson rivière). Les résultats montrent que, même en cas de bon IPR, les truites peuvent néanmoins être exposées à une pollution. 
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