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Espérer que le ciel ne nous tombe pas sur la tête ne saurait constituer une politique assurantielle. Nombre de collectivités, désertées par les assureurs, sont pourtant à la merci des éléments, en particulier celles responsables de la Gemapi. Quand elles obtiennent une couverture, celle-ci est toujours plus coûteuse que la précédente et souvent moins complète. Signer un contrat n’est plus une formalité mais un parcours de combattant.
Crue du Grémillon en 2012 à Essey-lès-Nancy (Meurthe et Moselle). Les terrains de sports sont généralement exclus des contrats d’assurance dommages aux biens. / Crédits : @ville d'Essey lès Nancy.JPG