Les raisons ? Un essoufflement dû à un manque de communication, rendant ce rendez-vous peu « lisible », le désengagement de l’État depuis deux ans et le rejet des usagers provoqué par l’adverbe « sans ». Selon le journal Le Monde, l’éventualité que cette journée n’ait pas lieu a été « évoquée avec insistance » lors de la signature du protocole d’accord pour le développement d’une mobilité durable entre les élus du Groupement des autorités responsables de transports (Gart), et les professionnels de l’Union des transports publics (UTP). Leur priorité : relancer « une véritable dynamique du transport collectif ». Ainsi, le maire PS de Mulhouse, également président de l’Association des maires de grandes villes de France (AMGVF), serait favorable à l’organisation d’une semaine des transports publics. Le sort de la journée sans voiture sera décidé le 17 février par le ministre de l’Écologie Serge Lepeltier, lors d’une réunion avec l’AMGVF et le Gart.Pour tout renseignement sur la lettre hebdomadaire Environnement & Stratégie, vous pouvez écrire à son rédacteur en chef Jean-Philippe Bondy en cliquant ici.