Ces Cyclopolitain sont répartis autour de points stratégiques, comme la gare mais aussi la rue de la Marne, principale artère piétonne. « Avec le Cyclopolitain, les villes peuvent se doter d’un nouveau mode de transport économique et écologique pour assurer le dernier maillage de transport de la ville, après le bus ou le taxi », résume Sarah Dufour de Cyclopolitain. Ces tricycles permettent de transporter deux adultes et un enfant de moins de 6 ans. Le coût du trajet est de 1 euro pour la prise en charge, plus 1 euro le kilomètre. A Nantes, dix pilotes ont été recrutés pour assurer le service de Cycl’amen, société franchisée de Cyclopolitain. Ces « cyclonautes » sont principalement des étudiants, embauchés en contrat à durée indéterminée à temps partiel. Déjà d’autres villes comme Lyon, Nice et Grenoble ont adopté ce mode de transport, d’autres projets devraient suivre à Toulouse, à Annecy et à Rennes. « A Lyon, ville pilote du Cyclopolitain, plus de 200 000 personnes ont déjà emprunté ces tricycles électriques depuis l’inauguration en 2003 avec une moyenne de 900 m pour les déplacements », poursuit Sarah Dufour. Notons que la société Cyclova a lancé au début du mois un service similaire aux Sables d’Olonne. Sophie BesrestCliquez ici pour découvrir et vous abonner à Environnement Magazine.
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