Or, le marché est actuellement en train de bouger. Genencor, déjà très engagée dans la fourniture d’enzymes de haute efficacité pour le bioéthanol de première génération, vient d’annoncer la production de l’Accellerase 1000, une première enzyme commerciale capable de réduire la cellulose en sucres simples.
D’autres enzymes, plus spécifiques à certaines biomasses, devraient suivre. Parallèlement, une entreprise Eirzyme vient d’être créée en Irlande, à l’initiative de l’université de Galway et de la société canadienne MicroMill, pour produire des enzymes à bas coût sur ce même marché. Enfin, on notera un nouvel accord de recherche de Syngenta avec des partenaires australiens. Cécile Clicquot de Mentque
Information détaillée à lire dans La lettre de l’environnement n°432 du 29 octobre.
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