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Accueil > Actualités > Mobilité > L'Ademe piste les usagers des aires de covoiturage
MOBILITÉ

L'Ademe piste les usagers des aires de covoiturage

PUBLIÉ LE 15 SEPTEMBRE 2015
LA RÉDACTION
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Il en fleurit près d'une par semaine en France : les aires de covoiturage à l'initiative des collectivités font l'objet d'une étude, réalisée par le bureau d'études Inddigo et mise en ligne par l'Ademe. Qui les utilise ? Pour quel type de déplacement ? Comment accède-t-on à cette aire ? Et quelle est leur "zone d'influence" ? Menée en partenariat avec des collectivités dont quatre départements, elle repose sur un questionnaire et débouche sur une variété de réponses apportées. "Ces aires fonctionnent de façon différente selon le contexte local et leur implantation, avec des utilisateurs qui viennent soit très majoritairement d'un seul pôle, soit au contraire d'une multitude d'origines différentes", introduit l'étude. Des espaces prisés L'âge moyen de l'utilisateur est de 38 ans. Et son "usage" régulier puisqu'il effectue en moyenne 3,5 déplacements en covoiturage par semaine. Plus étonnant encore, 80 % des répondants "covoiturent" même tous les jours ou presque. Dans les trois quarts des cas, ces covoitureurs très réguliers rejoignent leur lieu de travail. Des résultats qui confirment ceux mesurés dans le cadre d'une précédente enquête réalisée en 2008 par le CETE Méditerranée (devenu le Cerema), auprès des usagers d'une dizaine d'aires de covoiturage. Un usage très rationnel Pour accéder à l'aire en question, ils passent le plus souvent par… du covoiturage. "Très marginaux sont ceux qui accèdent à l'aire de covoiturage par un autre mode : vélo, moto, marche ou transports en commun." Autre constat : ce recours à une aire de covoiturage n'a pas lieu en alternative aux transports en commun, mais bien au trajet effectué seul en voiture. La distance moyenne effectuée en covoiturage à partir de ces aires est de 43 km. "Mais s'ils ne pouvaient plus covoiturer, 90% des répondants effectueraient le trajet seul en voiture et 3% utiliseraient les transports en commun." L'utilisation de ces aires est donc, conclut l'Ademe, très rationnelle.MBL'étude de l'Ademe sur les aires de covoiturage
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