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Accueil > Actualités > Pollutions > Le port de Marseille évalue sa contribution à la pollution
POLLUTIONS

Le port de Marseille évalue sa contribution à la pollution

PUBLIÉ LE 1er SEPTEMBRE 2010
LA RÉDACTION
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À Barcelone, une étude a montré que la pollution atmosphérique liée à l'activité portuaire nuit notamment aux véhicules neufs en transit. À Venise, cette pollution pèse sur les monuments historiques. À Marseille, aucun impact particulier n'a été identifié, mais le Grand Port maritime de Marseille ( GPMM) participe, comme ces deux ports et ceux de Thessalonique et Gênes, au projet Apice (Common Mediterranean Strategy and Local Pratical Actions for the Mitigation of Port, Industries and Cities Emissions), s'inscrivant dans le programme européen MED. L'objectif : mieux appréhender l'impact de l'activité sur la pollution atmosphérique, en développant des outils de modélisation et de connaissance pour agir contre cette pollution. Une enveloppe globale de 2,3 millions d'euros est allouée au projet qui s'étalera sur trois ans. À Marseille, le port s'est associé à l'université de Provence (laboratoire chimie Provence, instrumentation et réactivité atmosphériques) et à Atmo Paca (l'association locale de mesure de la qualité de l'air). Un travail est également prévu avec des épidémiologistes. L'université interviendra dans l'étude de la chimie fine des particules et des suies rejetées par les activités portuaires et les activités industrielles qui en découlent. Cette phase d'études qui doit débuter avant la fin de l'année devrait durer dix-huit mois. De quoi appuyer un chantier auquel le GPMM réfléchit déjà : le raccordement électrique des navires à quai pour qu'ils n'aient plus à laisser tourner leurs moteurs.
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