Ce livre est un parfait exemple de l'utilisation d'un jargon scientifique entrelardé d'assertions sans aucun fondement. Si l'auteur recense très justement les différents polluants chimiques, physiques, biologiques, ainsi que la pollution électromagnétique, radioactive, le manque de hiérarchisation des risques est regrettable. Quoi qu'il en soit, pour les limiter, l'auteur propose deux solutions : la ventilation, en six pages, et les plantes dépolluantes, en 111 pages. C'est oublier (ou méconnaître) l'avis de l'Ademe de septembre 2011, évaluant la capacité des plantes à épurer l'air intérieur insuffisante par rapport aux niveaux de pollution généralement constatés. Bref : aérez
et aérez encore !