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Accueil > Actualités > Pollutions > Lancement d'un service de surveillance des conditions de santé et confort dans les bâtiments
POLLUTIONS

Lancement d'un service de surveillance des conditions de santé et confort dans les bâtiments

PUBLIÉ LE 20 AVRIL 2021
A.A
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Lancement d'un service de surveillance des conditions de santé et confort dans les bâtiments
Ce service peut être utilisé dans tous les cadres de vie. Crédits : G-ON
Entre pollution de l’air intérieur et les problèmes de température, les bâtiments peuvent jouer un rôle essentiel dans la santé des occupants. Pour améliorer la qualité de l’air et le confort thermique, G-ON, société de conseil et d’ingénierie en développement durable, propose son offre G-ON Life.
 
Pollution, particules fines, virus… La qualité de l’air intérieur peut être rapidement altérée. Pour l’améliorer dans tous les cadres de vie (bureaux, écoles, domiciles), la société G-ON a lancé son offre G-ON Life. En surveillant des paramètres comme la qualité de l’air intérieur, de l’eau, le confort thermique et la présence de pathogènes, cette offre répond ainsi à différents enjeux liés au renouvellement de l’air : la conformité réglementaire, les objectifs RSE, et le risque de propagation du Covid.

G-ON Life se repose sur une approche de terrain, axée sur la collecte et le contrôle des données, avec des indicateurs fiables et des mesures réalisées par des experts in situ. La mesure prend en compte un large éventail de paramètres :

- La qualité de l’air intérieur et extérieur : dioxyde et monoxyde de carbone, benzène, formaldéhyde, composés organiques volatiles, particules fines, ozone et dioxyde d’azote ;
- La qualité de l’eau : potabilité, légionelle et réseau technique de chauffage ;
- Le confort thermique, le confinement de l’air et le renouvellement, par une évaluation des moyens d’aération et des débits de ventilation ;
- Ou encore la surveillance sanitaire, avec des prélèvements SARS-CoV-2 dans l’air et sur les surfaces.

« Nous avons traité des plaintes d’occupants qui avaient peur que l’air des salles de réunion et des bureaux soit pollué. Nos outils de mesure ont permis de constater qu’effectivement le taux de CO2 grimpait en flèche lorsque les usagers se réunissaient », a raconté Florian Biamba, le responsable développement de G-ON Life.
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