Est-ce une nouvelle illustration de ce que d’aucuns appellent « la pédagogie des catastrophes » ? Une étude récente, menée par les professeurs Alexandre Garel et d’Arthur Petit-Romec, travaillant respectivement pour les écoles de commerce Audencia et Toulouse Business School, suggère que « les dirigeants exposés à des températures anormalement élevées réduisent davantage les émissions de carbone de leur entreprise ». Autrement dit, notent les auteurs, « il semblerait que les dirigeants révisent leur perception de la réalité de réchauffement climatique et, par conséquent, sont plus susceptibles d’initier des actions concrètes pour diminuer leurs émissions ».
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