Leurs travaux, publiés en avril dernier dans Nature Communications, permettent d’envisager le développement de nouveaux mélanges enzymatiques pour valoriser la biomasse issue de déchets de la sylviculture et de l’agriculture.
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L’idée serait donc d’associer dans des cocktails enzymatiques les enzymes actives et leurs enzymes de soutien pour mieux dégrader ces déchets et produire des matières premières renouvelables utilisées dans la production de biocarburants, d’ingrédients prébiotiques ou de matériaux bio-sourcés.