Le constructeur s’engage pour trois ans aux côtés de WWF France. Objectif : transformer le secteur des transports en créant de « vraies ruptures » pour une mobilité plus électrique et plus partagée.
 
Plutôt que de pointer du doigt les constructeurs pollueurs, l’ONG WWF France crée depuis trois ans des initiatives intelligentes pour accélérer la transition des mobilités. De son côté, le groupe Renault, pionnier et leader européen du véhicule électrique est lui aussi activement engagé en faveur d’une mobilité plus durable.

Fort de cette vision commune, le constructeur vient de rejoindre l’initiative « Réinventer les villes » de WWF France. Avec elle, l’objectif est simple : diminuer l’empreinte écologique des villes en travaillant entre autres sur les usages de mobilité.

Dans le cadre de ce partenariat, le WWF France et le Groupe Renault ont mené une première étude sur l’île de Porto Santo au Portugal. Les premiers résultats qui viennent d’être publiés révèlent qu’avec une combinaison de 99,5 % d’énergies renouvelables et 100 % de mobilité électrique, l’île entière pourrait se rapprocher de la neutralité en carbone d’ici 2030, avec une réduction totale de son empreinte d’environ 88 % par rapport à 2018.

WWF France et Renault prévoient de poursuivre leurs recherches sur les bénéfices d’un écosystème de véhicules électriques couplé aux énergies renouvelables à Porto Santo. Ils envisagent également d’étudier des solutions dans d’autres territoires ou îles, comme Belle-Ile-en-Mer (Bretagne).