David Sussmann président-fondateur de Pure Ocean et Hugues Mercier, Directeur général d’Aumax pour moi lors de la signature du partenariat au One Ocean Summit. Crédit : Aumax pour moi
À l’occasion du One Ocean Summit, la fintech « Aumax pour moi », filiale du Crédit Mutuel Arkéa, officialise son partenariat avec la fondation Pure Ocean. En ligne de mire : mobiliser les clients et éveiller les consciences pour la préservation des écosystèmes marins.
Concilier le monde de la finance et la protection des océans, tel est l’objectif du partenariat signé ce mercredi 09 février, entre la fintech « Aumax pour moi » et Pure Ocean, à l’événement international One Ocean Summit. La filiale du Crédit Mutuel Arkéa, lance une offre responsable qui permet à ses clients et consommateurs de reverser une somme d’argent à la fondation Pure Ocean via le principe du « giveback ».
Consciente des enjeux sociétaux, Aumax pour moi s’est structurée depuis sa création en 2017 autour des préoccupations climatiques et environnementales. Progressivement, la société a souhaité étoffer son offre pour gagner en durabilité auprès de ses clients. « Nous étions à la recherche active d’une association ou d’une cause pour renforcer notre offre responsable. Lorsque nous avons construit l’offre, nous avons choisi de restituer la vision carbone, de proposer une assurance vie dite ISR (investissement socialement responsable, [ndlr]), et au fur et à mesure il nous paraissait important de proposer aux clients une cause à soutenir », nous explique Hugues Mercier, Directeur général d’Aumax pour moi.
Marquée par son attachement au monde maritime, la société Aumax s’est « naturellement » rapprochée en décembre 2021 de la fondation Pure Ocean. A travers ce partenariat, la fintech offre désormais à ses clients l’opportunité de devenir des acteurs responsables en agissant pour les océans.
Un pourcentage dédié à la préservation des océans
Le principe de cette offre - en test auprès d’une centaine de clients et disponible au grand public début mars 2022 - repose sur un système simple, celui du giveback qui convertit le cashback de l’utilisateur en don. Ce giveback va générer une subvention destinée in fine à Pure Ocean. Les dons permettront notamment de financer des projets de recherche et développement au profit de la préservation des écosystèmes marins. « L’objectif est de montrer à nos clients que ce partenariat a un impact très concret sur les programmes de recherche qui vont œuvrer à améliorer la santé des océans », commente Hugues Mercier.
Concrètement, à chaque utilisation de leur moyen de paiement, les clients disposeront d’un pourcentage de rétrocession. Néanmoins, les utilisateurs ne bénéficieront pas directement de ce « cashback » puisqu’il sera attribué à Pure Ocean. « Ce giveback est fondé sur la consommation de chaque utilisateur. Nous allons progressivement le faire évoluer afin que le taux de rétrocession soit plus important lorsque le client effectue des achats chez des commerces plus vertueux », précise le Directeur général d’Aumax pour moi.
Dans un souci de transparence, Aumax « communiquera en permanence le montant qui s’incrémente. Une fois par an, le client disposera d’un reçu fiscal qui liste les dons attribués à Pure Ocean ».
Mesure de l’empreinte environnementale
Grâce à son offre responsable, Aumax pour moi proposera également et de façon régulière à ses utilisateurs des bilans personnalisés de « leurs comportements d’achat ». À coté de ce bilan carbone, le service présentera des recommandations établis par l’Ademe, permettant à chaque client de réduire son empreinte environnementale. Les conseils pratiques seront personnalisés en fonction des renseignements communiqués sur le profil des consommateurs, ainsi que leurs modes de vie.
« Nous allons livrer en plusieurs temps les recommandations pratiques à adopter. Début mars, il y aura le bilan carbone de chaque consommation, et dans les mois suivant nous ajouterons les recommandations de l’Ademe, sur la base d’une déclaration personnelle pour affiner les conseils et permettre aux clients de mieux gérer leur impact carbone via les achats », conclut Hugues Mercier.