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EAU

Un désinfectant qui ne manque pas de sel

PUBLIÉ LE 30 AVRIL 2020
AGNÈS BRETON
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Un désinfectant qui ne manque pas de sel
BWT propose depuis une dizaine d’années sur le marché français l’Eco MX, une solution de désinfection des réseaux d’eau par électrolyse du sel, qui évite toute manipulation de produits chimiques.
 
L’Eco MX assure la production à partir d’eau adoucie et de chlorure de sodium d’une solution désinfectante, non classée pour la santé et l’environnement, par l’application d’un courant électrique. « La production se fait à la demande et la solution est toujours fraîche. Comme elle n’a pas le temps de se dégrader, le rendement est important », explique Emmanuelle Le Guern, chef de marché produits formulés chez BWT. Autre qualité : ces rejets ne contiennent pas de molécules organiques et diminuent les halogènes organiques adsorbables (AOX), les trihalométhanes (THM) et les perchlorates.

Une cible industrielle

L’Eco MW est proposée en plusieurs capacités, pour produire de 8 à 250, voire 400 kg d’équivalent-Javel de solution désinfectante par jour. La solution cible les industries agroalimentaires, qui ont de gros besoins de désinfection, l’industrie automobile, les réseaux climatiques, les unités de production énergétiques, l’aéronautique. BWT dispose aussi pour sa solution de l’agrément eau potable. S’il n’y a pas encore d’installations hors industrie en France, les industriels équipés s’en servent, outre le process, pour les besoins sanitaires et l’eau de consommation. Le dimensionnement de l’installation va alors dépendre de la qualité de l’eau à traiter. En partant d’une moyenne de 1 litre de solution Eco-MX par mètre cube d’eau à traiter, les machines permettent donc de traiter entre 200 à 6000 m3/j.
 
BWT propose sa solution sous forme de location, au moins durant trois ans, la maintenance étant incluse. Le coût varie selon le modèle entre 400 et 4500 euros par mois. Les besoins en sel s’échelonne de 3 à 80 kg par jour. « Le recours au sel présente de nombreux avantages : pas besoin de produits chimiques, donc aucuns risques liés au transport, au stockage ou à la manipulation de produit, et la possibilité de le stocker durant plusieurs mois », avance Emmanuelle Le Guern. Des atouts qui ont rassuré durant la crise liée au Covid-19 les industriels équipés (agroalimentaire, pharmacie). Cette importante capacité de stockage, et donc l’autonomie qu’elle apporte, leur a permis de maintenir leur activité.
 
© BWT
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Article publié dans Hydroplus n° 255.
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