L’Union des professionnels du génie écologique et l’Office international de l’eau ont signé, ce mardi 30 juin, une convention-cadre fixant les modalités de collaboration entre les deux structures dans les domaines de l’eau, du génie écologique, des milieux aquatiques, de la biodiversité et de l’économie circulaire.
« Affichant des missions, des savoir-faire et des expertises complémentaires », l’Union des professionnels du génie écologique (UPGE) et l’Office international de l’eau (OIEau) vont pourvoir développer avec un tel accord « des synergies en termes d’échange d’informations et de bonnes pratiques, de promotion des activités et d’implication dans des projets à la portée régionale, nationale et internationale », expliquent les deux associations.
Au programme de cette collaboration figurent « la formation des professionnels, les missions d’expertise et de conseil, la contribution à des projets et recommandations nationales et internationales en termes de documentation, d’information, de mise en réseau des acteurs et de systèmes de gestion de données, la participation à des projets de l’Union européenne et de coopération internationale, la conception et la mise à disposition d’outils afin de donner une visibilité accrue aux secteurs de l’eau et de la biodiversité, la valorisation conjointe des missions et des travaux de l’UPGE et de l’OiEau ».
D’ores et déjà les nouveaux partenaires annoncent des actions de copromotion de formations interentreprises de l’OIEau et de l’UPGE sur leurs catalogues de formation respectifs et par des adhésions croisées. « L’OiEau se réjouit de ce nouveau partenariat scientifique et technique avec l’UPGE, structure portée par la même volonté de développer les échanges d’information, l’implication concrète dans des projets de terrain et des actions de formation, pour renforcer et valoriser les acteurs des secteurs de l’eau et de la biodiversité », a déclaré Eric Tardieu, directeur général de l’OiEau. « Nous sommes heureux de nous rapprocher de l’OiEau et de formaliser les interactions qui existaient déjà. Les différents axes de notre partenariat, et en particulier la formation, sont stratégiques pour la structuration de la filière du génie écologique», a ajouté Thomas Redoulez, délégué général de l’UPGE.
Éric Tardieu, directeur général de l’OiEau (à gauche), et Thomas Redoulez, délégué général de l’UPGE (à droite).,