À la croisée de nombreux enjeux, la gestion de l’eau notamment dans le bâtiment impose une prise en compte de l’ensemble de tous les acteurs concernés, des fabricants et prescripteurs, aux usagers, en passant par les collectivités et les opérateurs immobiliers. En partant de ce besoin, le CSTB crée la Direction de l’Eau qui regroupe des activités transverses : Recherche & Développement, essais, évaluation et certification. À sa tête, Maxime Roger, Directeur opérationnel.
La nouvelle direction réunit les expertises de la « Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration » dédiée à la Recherche & Développement, et « Hydraulique et Équipements Sanitaires », essentiellement spécialisée dans la certification. Elle réunit ainsi les équipes spécialistes issues de ces anciennes directions afin de créer des synergies et une transversalité dans les travaux et l’organisation des ressources et compétences autour de la gestion durable de l’eau.
La Direction de l’Eau est organisée autour de quatre divisions : Réseaux et ouvrages extérieurs, avec pour cible les collectivités ; Réseaux et canalisations intérieurs les constructeurs et installateurs ; Équipements Sanitaires du bâtiment pour les industriels ; Usages et nouveaux enjeux pour les usagers, les propriétaires et les exploitants.
Rétrospective de carrière
Maxime Roger, ingénieur diplômé de Polytechnique et de l’École des Ponts et Chaussées en 2008, rejoint le CSTB en 2009, en tant qu’ingénieur Études et Évaluation, d’abord responsable de l’équipe hygrothermique des ouvrages, puis du département Isolation et Revêtements. En 2015, il est nommé Directeur de l’établissement de Nantes du CSTB, et Directeur opérationnel Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE).
Maxime Roger, Directeur opérationnel. Crédit : Raphaël Dautigny
Il voit aujourd’hui dans la nouvelle Direction de l’Eau, « une opportunité unique de répondre de manière transverse, efficiente et pérenne aux problématiques de gestion durable de l’eau dans le bâtiment, en fédérant l’ensemble des acteurs autour de cet enjeu crucial, d’intérêt public ».