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MOBILITÉ

La flotte fluviale francilienne se met au vert pour les JO 2024

PUBLIÉ LE 1er JUIN 2021
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La flotte fluviale francilienne se met au vert pour les JO 2024
Deux projets de rétrofit biogaz sont en expérimentation. Crédits : Pixabay
GRDF accompagne les projets de remotorisation au BioGNV des flottes fluviales franciliennes en se mobilisant auprès de la communauté portuaire de Paris. Objectif : accélérer la transition du transport fluvial, en faisant de l’axe Seine une voie de développement pilote du fluvial vert d’ici 2024.

Au 1er juin 2021, la fusion des ports de Paris, du Havre et de Rouen donnera naissance au premier ensemble portuaire français. Stimulé par ce nouvel élan et la perspective des Jeux Olympiques 2024, GRDF a décidé de financer deux projets expérimentaux pour engager la transformation énergétique de la flotte francilienne : le projet de la communauté portuaire de Paris et le Green Deliriver. Avantage : les bateaux remotorisés et circulant au BioGNV émettront moins de 90 % de CO2 et moins de 98 % d’oxydes d’azote et de particules fines par rapport à un bateau classique.

La communauté portuaire de Paris, concerne un projet de rétrofit biogaz d’une flotte de 150 bateliers parisiens, dans le cadre du comité de pilotage (Copil) « Verdissement des flottes fluviales parisiennes ». Le second projet Green Deliriver, est cofinancé par GRDF, région Île-de-France, Voies Navigables de France et l’Ademe Île-de-France. Ce projet de rétrofit d’une barge de transport de marchandises « intègre un système de propulsion hybride biogaz/électrique ». Celui-ci réunit Segula Technologies, Coalis, Total, la CCI des Yvelines et la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPSEO), pour relier Mantes-la-Jolie au centre de Paris.

Des stations d’avitaillement en biogaz

Par ailleurs, 11 stations d’avitaillement en GNV/BioGNV sont prêtes pour alimenter les flottes fluviales des ports de Paris jusqu’à la façade maritime normande. Deux solutions sont envisagées pour l’avitaillement : des stations fixes dans les ports ou un bateau avitailleur, précise GRDF.

« Au total, nous comptabilisons aujourd’hui 100 stations BioGNV en Île-de-France, dont 11 dédiées au fluvial, avec un rythme de croissance annuelle de 30% par an. La vision à l’échelle de la Métropole du Grand Paris, selon une étude de l’atelier parisien d’urbanisme, est que la moitié des 400 stations-service pourront s’orienter vers des mobilités propres dans la décennie », a souligné Bertrand de Singly.
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