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POLITIQUES

Le 1er rapport sur l’administration exemplaire

PUBLIÉ LE 13 OCTOBRE 2010
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Pour l’année 2009, les treize services (12 ministères et les Services du premier Ministre) avaient à répondre à huit indicateurs (le nombre et la nature sont revus chaque année). Le bilan est très bon puisque huit d’entre eux remplissent l’intégralité des indicateurs de performance et les cinq autres en satisfont sept sur huit. Première explication : la nature des indicateurs. En effet pour ce premier exercice, ils étaient davantage centrés sur l’adoption de cadre de référence et d’outils que sur des objectifs. C’est le cas des indicateurs « Remise d’un plan administration exemplaire », « Remise d’un bilan social » ou encore « Acquisition d’un outil expert de suivi des fluides ». S’y ajoutent ceux qui portent sur l’acquisition de données comme le nombre de ramettes de papier et de copieurs et imprimantes par agent ou encore les dépenses énergétiques par agent et l’achat de véhicules émettant moins de 130 g de CO2 par km. Au final, il ne restait qu’un seul indicateur chiffré, celui relatif au lancement d’audits énergétiques sur 40 % des bâtiments. Deuxième raison, le périmètre car pour l’essentiel il s’arrête à l’administration centrale. Enfin, le dispositif financier mis en place.  Le principe est simple : chaque ministère gèle 1 % de ses dépenses courantes soit un fonds d’environ 100 millions d’euros et en récupère la totalité assortie d’un bonus malus en fonction de ses résultats. Par exemple en-dessous de 6 sur 8, le mauvais élève perdait la moitié de sa contribution. Cette année, « le ministère de l’Ecologie a récupéré ses 3 millions d’euros avec un bonus de 65 000 euros » expliquait Michèle Pappalardo, délégué interministérielle au développement durable. Une somme globale qui va financer l’équipement en visioconférence de l’ensemble des sites de l’administration centrale. Cet argument financier s’avère donc efficace  et devrait le devenir encore davantage avec la sévérisation des indicateurs. Pour l’année 2010, ils sont au nombre de onze avec pour quatre d’entre eux (audits énergétiques, véhicules peu émissifs, papier et dépenses énergétiques) des seuils chiffrés. Résultats attendus dans un an. DBLire le rapport
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