Le ministère s’engage à financer les collectivités pour soutenir le déploiement des énergies renouvelables. Crédit : Pixabay
Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, et Sébastien Martin, président d’Intercommunalités de France et président de la communauté d’agglomération du Grand Chalon, ont signé ce jeudi 13 janvier un accord de partenariat pour mettre la transition écologique au cœur des territoires.
Décarbonation, reconquête de la biodiversité, et préservation des ressources, autant d’enjeux qui nécessitent la collaboration entre l’Etat et les collectivités locales. Pour encourager les rapprochements en faveur de la transition écologique entre « les services déconcentrés de l’État, de ses opérateurs et les services des intercommunalités », Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, et Sébastien Martin, président d’Intercommunalités de France, ont signé ce jeudi un accord de partenariat.
Cette convention met en lumière toutes les intentions communes en matière de climat et d’énergie, telles que la mise en œuvre des plans climat-air-énergie territoriaux (PCAET), le développement des énergies renouvelables ou encore le déploiement des politiques de rénovation énergétique des logements et des bâtiments.
Climat-air-énergie
Dans le cadre de ce partenariat, le ministère de la Transition écologique s’engage à associer Intercommunalités de France aux travaux relatifs à l’action territoriale sur les enjeux climat-air-énergie. Pour rappel, le plan climat-air-énergie territorial, obligatoire pour les intercommunalités de plus de 20.000 habitants, vise à décliner sur un territoire les objectifs nationaux et européens en matière d’énergie, de climat et d’air.
Le ministère s’engage à financer les collectivités pour soutenir le déploiement des énergies renouvelables sur leurs territoires. Celles-ci pourront également bénéficier du réseau de conseillers Photovoltaïque et Eolien mis en place en partenariat avec l’Ademe.
Par ailleurs, les priorités en matière d’environnement figurent, la lutte contre l’artificialisation des sols, la préservation et reconquête de la biodiversité, de l’économie circulaire, de la transition agroécologique ou de politiques de l’eau.