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Accueil > Actualités > Pollutions > Canal Seine-Nord Europe : en route vers 2017
POLLUTIONS

Canal Seine-Nord Europe : en route vers 2017

PUBLIÉ LE 7 MAI 2015
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Le député du Nord Rémi Pauvros a remis le 5 mai au secrétaire d'Etat aux transports Alain Vidalies un nouveau rapport sur la préfiguration de la construction du canal Seine-Nord Europe. Déjà auteur fin 2013 d'un premier rapport ayant conduit à reconfigurer ce projet pour en confier la maîtrise d'ouvrage à une société de projet partenariale associant l'État et les collectivités, l'ancien maire de Maubeuge va cette fois-ci plus loin. Cette société de projet devra être, selon lui, pilotée « sur le modèle de la Société du Grand Paris ». C'est à dire tant par l’État et VNF que par les collectivités. Des conventions de partenariat sont aussi à tisser « dès maintenant » avec d'autres acteurs clefs du projets, dont la profession agricole et les ports, ces derniers étant pour l'instant loin d'être tous satisfaits (ceux de l’axe Seine et Normandie ont fait part de leurs craintes en termes de perte d'avantage stratégique). Aux associations environnementales qui, elles, alertent sur l'impact du futur aménagement, Rémi Pauvros donne des gages : il propose - ce qui reste à étudier « dans les semaines à venir » par Alain Vidalies - l'atteinte d’une certification « Canal Durable » de type HQE infrastructures ; de faire de cette infrastucture « un démonstrateur de la transition énergétique sur le modèle de la troisième révolution industrielle conduite en Nord-Pas de Calais » ; de renforcer l’autonomie énergétique du canal ; de prévoir des standards de construction des plateformes sur le plan énergétique (solaire, éolien) et de susciter l’innovation par un appel à projet ».Enfin, pour asseoir le modèle économique de cette société de projet, son rapport préconise de prélever une contribution (ce que rend possible la directive Eurovignette III) sur le coût de la pollution liée au trafic de poids lourds sur les autoroutes concédées du Nord de la France (A1). Mais aussi de taxer les surfaces d’entrepôts. Avec des abattements possibles "si l’entrepôt utilise le ferroviaire ou le fluvial".MBLe rapport sur le canal Seine Nord EuropeLa synthèse de ce rapport
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