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POLLUTIONS

Odo : la chasse aux mauvaises odeurs

PUBLIÉ LE 29 DÉCEMBRE 2016
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
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Quand l’idée d’un industriel profite à tous : c’est la belle histoire d’Odo, une appli grand public de signalement d’odeurs lancée en juin dernier. En réalité, tout a démarré en 2013 par la demande d’un industriel d’Amiens à Atmo Picardie. Responsable assumé de nuisances olfactives, il souhaite développer un jury de nez interne et équiper ses trente salariés d’une appli qui signalerait en temps réel les odeurs émanant de son site. Pour lui qui finance le projet à 100 %, c’est le moyen d’agir en interne au plus vite s’il est bien responsable des relents gênants et de pouvoir se disculper quand ce n’est pas le cas.« L’outil fonctionne si bien que nous avons décidé de développer une V2 professionnelle et une V1 grand public avec l’agence ICI sélectionnée par appel d’offres. Cela s’est fait en un an pour un coût d’environ 20?000 euros », explique Benoît Rocq, le directeur d’Atome Picardie.Aujourd’hui, tout citoyen picard peut signaler une odeur via l’appli. « En moins d’une minute, il renseigne par menu déroulant l’évocation, la fréquence, l’intensité et le ressenti santé », précise-t-il. Le signalement géolocalisé est renvoyé sur la plateforme Odo qui cartographie toutes les déclarations des dernières vingt-quatre heures.Un réseau de nez formés prend alors le relais pour identifier l’odeur et son origine et alerter les partenaires du réseau, élus, industriels, services de l’État et associations concernés. D’autres associations de surveillance de la qualité de l’air sont d’ores et déjà intéressées. Cinq d’entre elles devraient adopter Odo en 2017.DB 
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