« Trois années sur cinq, jusqu’à 12 % des parcelles présentaient une contamination pouvant entraîner la mort de 50 % des abeilles et bourdons les visitant », conclut une étude menée par des chercheurs du CNRS, de l’Inra et de l’Institut de l’abeille (Itsap) sur 291 parcelles de colza d’hiver entre 2014 et 2018.
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Pour les scientifiques, ces résultats « confortent l’idée que les résidus d’imidaclopride persistent et se diffusent dans l’environnement, pouvant de retrouver dans le nectar du colza, bien que cette culture ne soit elle-même plus traitée par ces produits depuis 2013 ».