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RECYCLAGE

Ces déchèteries qui deviennent des forteresses

PUBLIÉ LE 25 JANVIER 2016
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
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Le Sietrem prend le taureau par les cornes pour sécuriser ses cinq déchèteries. Cela passe par des protections passives (surélévation de clôtures, barbelé, éclairage…), actives (vidéosurveillance, détection infrarouge…), et un travail en lien avec les services de police. En premier lieu pour la déchèterie de Saint-Thibault-des-Vignes, attenante à un incinérateur – où le tas de mâchefer a été « visité ». En 2015, avec 16 dépôts de plainte, il en a coûté 30 000 euros de réparations suite aux dégradations. Côté investissement : 92 000 euros en clôture, 5 000 euros en alarme, 2 000 euros par caisson renforcé. « Ce qui est efficace sur un site ne l'est pas forcément sur un autre », constate Lydie Vincent, responsable technique au Sietrem. Les mesures comprennent le marquage des DEEE, la pose d'une grille sur les détecteurs, un avertisseur sonore désormais monté sur poteau, les locaux d'accueil protégés par porte blindée, après le vol de chaussures de sécurité, tenue de travail, ou fax et cafetière. De plus, le Sietrem engage un dépôt de plainte systématique. Les forces de l'ordre accentuent leurs rondes. Avec la police, « nous travaillons de concert », pour-suit Lydie Vincent. « Grâce à l'association de collectivités Gedem 77, nous avons regroupé autour d'une même table les acteurs de la sûreté, préfecture, gendarmerie, police. Et fait entendre, avec l'appui d'Ecologic, que si des DEEE sont pillés et brûlés, l'impact est à la fois pécuniaire et environnemental. » Résultat ? « Nos tonnages de DEEE remontent à Saint-Thibault, depuis la mise en place de l'alarme en avril 2015. »Le syndicat regroupe 294 500 habitants de 29 communes de Seine-et-Marne et deux de Seine-Saint-Denis. Il poursuit la montée en puissance de cette mise en sûreté. C.C.
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