Depuis mars 2021, l’État a autorisé les pharmacies à vacciner les patients pour élargir sa campagne anti-covid dans l’Hexagone. Résultat : une potentielle augmentation du volume des déchets d’activités de soins à risques infectieux (Dasri). Pour éviter une tension nationale dans la gestion des déchets de vaccins, l’éco-organisme Dastri s’est impliqué, à la demande du ministère des Solidarités et de la Santé (MSS), dans leur collecte et traitement auprès des pharmacies.
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L’éco-organisme a communiqué les modalités de stockage des déchets de vaccins (seringues usagées et flacons vides), de tests sérologiques (autopiqueurs) et de tests antigéniques (écouvillons, tubes et cassettes), qui répondent à des logiques différentes, aux pharmaciens afin de permettre une gestion optimale de ces déchets.
Dastri évite en outre de multiplier les circuits de collecte des déchets dans les officines, améliorant ainsi le bilan carbone de son opération.