Saretec, acteur expert en sinistres, mobilise les parties prenantes, y compris les assureurs, les assurés, les artisans et ses propres collaborateurs, dans le but de réduire les émissions de CO2 des chantiers de réparation dans le secteur du bâtiment.
La réparation après sinistre dans le secteur du bâtiment est souvent effectuée à l’identique, voire ne prend pas en compte l’impact environnemental de ces travaux. Conscient de cette problématique, le groupe Saretec mobilise toutes les parties prenantes pour réduire de 7 % par an l’impact carbone de ces chantiers, et ce, sans surcoût pour les assureurs ou les assurés.
Pour y parvenir, Saretec a procédé à une analyse de l’empreinte carbone de plus de 350 prestations individuelles, permettant ainsi de quantifier les émissions sur l’ensemble des chantiers réalisés dans le cadre de ses missions. Ces évaluations sont désormais intégrées dans chaque nouveau rapport d’expertise. Saretec utilise ces données pour élaborer un catalogue de bonnes pratiques qui recense des prestations à faible impact carbone en agissant soit sur les matériaux, soit sur les procédés de réparation. Par exemple, dans le cas d’un dégât des eaux nécessitant des travaux de peinture, Saretec a identifié une liste de produits existants. L’objectif est d’encourager l’assuré et l’artisan à privilégier la peinture la moins polluante, telle qu’une peinture recyclée.
Pour mettre en œuvre ces bonnes pratiques, Saretec a créé un bordereau bas carbone incitatif, permettant aux entreprises du BTP de maintenir leurs marges et de financer leur transition sans alourdir la charge des sinistres. « En tant qu’expert, nous avons une position centrale auprès des assureurs, des assurés et des entreprises du BTP. Nous sommes ravis de mobiliser cet écosystème avec notre éventail de bonnes pratiques, qui peut être déployé immédiatement et à grande échelle », a déclaré Jean-Vincent Raymondis, PDG de Saretec.