On n'imagine pas les impacts du dérèglement climatique sur l'eau et la biodiversité dans une cinquantaine d'années. Si nous ne modifions pas maintenant nos comportements, notre société deviendra très vulnérable. On note une prise de conscience globale, mais les gens pensent aux îles lointaines qui vont disparaître, pas aux conséquences locales. J'essaie donc de limiter mes impacts : je n'ai pas de voiture (c'est plus facile quand on habite à Paris !), je mange très peu de viande, fais attention à l'origine des produits que j'achète, je ne surchauffe pas mon appartement... Mais, comme j'aime aussi voyager, j'ai décidé de compenser les émissions de CO2 dues à mes déplacements en avion par une contribution financière volontaire.