Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Biodiversité > Monique de Marco, vice-présidente du conseil régional d'Aquitaine en charge de l'environnement et de l'adaptation au changement climatique
BIODIVERSITÉ

Monique de Marco, vice-présidente du conseil régional d'Aquitaine en charge de l'environnement et de l'adaptation au changement climatique

PUBLIÉ LE 1er SEPTEMBRE 2011
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
1 Le conseil régional d'Aquitaine crée une agence régionale de la biodiversité. Quelle est sa mission ? L'agence, dont les statuts sous forme d'association loi 1901 ont été adoptés en juillet, devrait voir le jour cet automne. L'État et la Région en sont les membres fondateurs. Différentes missions seront assignées à la structure, imaginée pour aider à la prise de conscience des enjeux de la biodiversité et à améliorer la collecte des données. Tout d'abord, elle sera un observatoire régional de la biodiversité sauvage et cultivée. Ensuite, elle fera la liaison entre aménageurs, usagers, collectivités et acteurs de la nature. Elle aura, enfin, une mission de vulgarisation des données et de sensibilisation du public. 2 Pourquoi une agence de la biodiversité ? Il y a, en Aquitaine, un besoin de mise en réseau des connaissances et des pratiques de tous les acteurs : associations de protection de l'environnement, fédération des pêcheurs et des chasseurs, organismes de recherche, socioprofessionnels, collectivités... Il fallait une structure capable de rassembler. D'ailleurs, le conseil d'administration de l'agence comprendra sept collèges composés de ces acteurs. L'Aquitaine n'échappe pas non plus au phénomène de l'érosion de la biodiversité. Nous pouvons nous prévaloir d'un patrimoine naturel, qui représente 52 % de notre territoire. Mais il est fragile. 3 Quels sont les autres outils que vous avez développés ? Nous avons déjà signé et renouvelé pour trois ans 22 contrats Aquitaine nature avec des gestionnaires de sites naturels. Cela représente 90 espaces et environ 18 000 hectares. C'est un bon outil, mais ce n'est pas suffisant. Tout reste à bâtir pour avoir une vision régionale de la biodiversité. Par exemple, le conseil régional travaille en concertation avec l'État sur les trames vertes et bleues. Cet automne, la plupart des acteurs de l'environnement, dont les gestionnaires des sites naturels du contrat Aquitaine Nature, prendront part à la concertation sur le schéma régional de cohérence écologique.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Le centre de contrôle national dédié à l’environnement marin inauguré dans le Morbihan
Le centre de contrôle national dédié à l’environnement marin inauguré dans le Morbihan
Quelle place pour la biodiversité au sein des Jeux Olympiques ?
Quelle place pour la biodiversité au sein des Jeux Olympiques ?
Les aires marines protégées bénéfiques à l'économie
Les aires marines protégées bénéfiques à l'économie
Un président délégué pour la Fédération des Parcs naturels régionaux de France
Un président délégué pour la Fédération des Parcs naturels régionaux de France
Tous les articles Biodiversité
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS