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Altriom valorise 90 % des OMR

PUBLIÉ LE 15 JUILLET 2014
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L'Ecopole Altriom a inauguré fin juin son unité de tri et de valorisation des ordures ménagères résiduelles (OMR). Le site, d'une capacité de 40 000 t/an, trie les déchets de quatre communes de la Haute-Loire. Conçu et exploité par le groupe Vacher, il utilise un procédé maison, 3Wayste. « Le procédé repose sur notre ouvre-sac breveté, d'une capacité de 20 t/h. Tout se joue dans cette phase où les déchets gardent leur intégrité, et la matière organique reste propre », explique Fabien Charreyre, responsable de la technique et du développement de Vacher. Un résultat lié à la conception même de l'ouvre-sac, vertical (et non horizontal), dans lequel le rotor est fixé à un bras pendulaire (et non pas fixe), ce qui autorise une flexibilité dans la dimension du passage des objets. Une fois extraits, les déchets sont soumis à un tri itératif, qui sépare le flux entrant en matière organique (environ 40 %), petits emballages (30 %) et gros emballages (30 %). La matière est compostée telle quelle, séchée et affinée. Les flux d'emballages passent quant à eux dans la batterie classique des équipements de tri mécaniques et optiques pour aboutir à un flux de plastique (4 à 8 %), de métal (3 à 4 % d'acier et 1 % d'aluminium), de papier-carton (12 %). Les indésirables, qui représentent 25 % du tonnage entrant, sont utilisés pour fabriquer des combustibles solides de récupération (CSR). Enfin, 8 à 10 % de déchets ultimes partent en stockage. Ainsi, 90 % des OMR sont valorisés, pour un coût de traitement de 105 euros/t (hors TGAP). Avec l'usine d'Oxalor, qui fonctionne dans les Deux-Sèvres depuis un an, c'est le seul exemple de valorisation directe des OMR en France. L'investissement de 14 millions d'euros a été porté par le groupe Vacher, notamment avec le soutien de la Région et du Département. AC Altriom
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