Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Eau > Le Sedif va déployer l’osmose inverse basse pression à Méry-sur-Oise
EAU

Le Sedif va déployer l’osmose inverse basse pression à Méry-sur-Oise

PUBLIÉ LE 19 MAI 2022
VM
Archiver cet article
Le Sedif va déployer l’osmose inverse basse pression à Méry-sur-Oise
Les membranes d'ultrafiltration vont être remplacées par des membranes d'osmose inverse, assurant une filtration plus fine. Crédit : DR.
A partir de la prise de fonction du nouveau délégataire, le Sedif va installer cette technique de désinfection et de filtration très fine pour produire une «eau plus pure, sans calcaire et sans chlore», dans son usine de Méry-sur-Oise dans le Val d’Oise.
 
Une simple adaptation aux dispositifs actuellement déployés
Le site de Méry-sur-Oise est l’une des trois usines du Sedif produisant de l’eau potable pour ses usagers du nord de l’Île-de-France. La technique de l’osmose inverse basse pression va être déployée sur le site pour la première fois. En effet, parmi les techniques de potabilisation aujourd’hui utilisées dans cette usine, la nanofiltration, mise en service en 1999, requiert un changement de membrane, du à son vieillissement. Ce système d’osmose inverse sera une simple adaptation aux dispositifs actuellement déployés, assure le Sedif. Ce changement de filtre nécessitera un investissement de 15 millions d’euros, entièrement financé par le syndicat francilien. Cette usine fournit quotidiennement 149.000 m3 d’eau potable, puisée dans l’Oise, à quelque 860.000 habitants.
 
400 millions d’euros par usine
Pour les usines de Choisy-le-Roi et de Neuilly-sur-Marne dans le Val-de-Marne, la technologie de l’osmose inverse sera installée ultérieurement. Mais elle demandera des investissements nettement supérieurs, les deux usines n’étant pas équipées en nanofiltration. Le Sedif les estime à 400 millions d’euros par usine. Le syndicat a reçu les offres pour le nouveau contrat de délégation. Elles sont en phase d’examen. Le nouveau délégataire devra mettre en œuvre ces technologies à partir de 2025-2026.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Les rencontres : Groupe Everwatt, l'autoconsommation collective en action
Les rencontres : Groupe Everwatt, l'autoconsommation collective en action
Estelle Grelier, nouvelle présidente de la Fédération Professionnelle des Entreprises de l’Eau
Estelle Grelier, nouvelle présidente de la Fédération Professionnelle des Entreprises de l’Eau
Prospective : Explore 2, plusieurs futurs possibles, tous sous contrainte
Prospective : Explore 2, plusieurs futurs possibles, tous sous contrainte
Ressource en eau et agriculture bio/3 | Lons laboure en tous sens
Ressource en eau et agriculture bio/3 | Lons laboure en tous sens
Tous les articles Eau
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS