Surfrider a demandé le 8 août aux organisateurs des Jeux olympiques de rendre publiques les analyses de l’eau de la Seine et de mettre à jour les bulletins hebdomadaires de la préfecture. Ceux-ci ne sont plus publiés depuis le début des Jeux olympiques.
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Surfrider qui avait entamé sa propre campagne de prélèvements depuis avril dernier, a réalisé un dernier test le 15 juillet dernier et n’a ensuite plus eu accès aux sites de compétition. " Les parties prenantes organisatrices des JO, ne nous ont donné aucune autorisation malgré notre demande dans notre lettre ouverte ", a déploré l’ONG. " Nous avons dû nous en remettre aux données communiquées par le CIO dans ses briefings quotidiens. Les informations données sont peu claires et peu précises sur les méthodologies et les paramètres dont il est question dans leur communication ", a-t-elle déploré.