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Accueil > Actualités > Mobilité > Un loueur impose un virage technologique à l'autopartage
MOBILITÉ

Un loueur impose un virage technologique à l'autopartage

PUBLIÉ LE 12 JUIN 2012
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
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En entreprise, la percée de l’autopartage est timide. Selon un sondage BVA, cette solution reste moins connue que le covoiturage. Malgré cela, 80 % des sondés disent qu’ils y auraient volontiers recours si leur entreprise leur proposait. Fort de ce constat, le loueur longue durée Alphabet lance un nouveau service, AlphaCity. En gestation depuis deux ans, il repose sur une intégration le plus en amont possible du dispositif qui permet au véhicule d’être mis en partage. « Le plus en amont possible, c’est à dire au niveau de l’usine de fabrication. Le constructeur intègre la télématique et d’autres outils nécessaires directement dans le cerveau du véhicule qui est destiné à l’autopartage. En l’occurrence uniquement dans des Mini et des modèles essence de la marque BMW », explique Stéphane Crasnier, directeur marketing d’Alphabet, qui est en fait une filiale de la marque allemande. A la clé, une meilleure maîtrise du service. Véhicule abîmé ou mal garé, plein d’essence oublié : dès lors qu’elle est partagée entre plusieurs employés, une voiture est exposée à nombre d’aléas. Si bien que les entreprises se détournent vite d’un tel service… « Notre solution est différente, elle intègre tous les cas de figure possibles », vante Olivier Monot, pdg d’Alphabet. Exemple : le collaborateur peut réserver le véhicule en quelques clics via l’intranet de son entreprise. Pas de clés : celui-ci s’ouvre avec le badge de l’entreprise. L’état des lieux du véhicule est réalisé par le conducteur, rapidement également, via l’ordinateur de bord. Call center en cas de souci, possibilité de remettre le véhicule sur un parking autre que celui de l’entreprise : une palette de services existent. « On cible les entreprises de toutes tailles. Celles dont les employés ont un recours excessif au taxi. Les PME aussi, où il y a un fort potentiel de développement pour l’autopartage », ajoute Stéphane Crasnier. En Allemagne et au Royaume-Uni, le service vient aussi d’être lancé. Il le sera prochainement en Belgique et en Hollande. En France, les premiers clients sont attendus dans l’année. A terme, il pourrait être proposé sur un modèle électrique.
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