Il s'agit pour ce réseau international, réuni en assemblée générale du 15 au 19 septembre à Chartres, de se « créer une identité plus forte », affirme Alexandre Colombani, directeur de Luci. Ainsi, « tous les nouveaux membres devront signer la charte pour intégrer l'association ». Le document résume les engagements des villes du réseau, divisés en deux parties intitulées "villes durables" et "éclairage durable". Dans la seconde, quelques grands principes, comme « optimiser la consommation énergétique » et « diminuer la pollution lumineuse », et une contrainte: produire tous les trois ans un rapport d'avancement dans ces démarches. Aucun objectif chiffré n'est cependant inscrit dans la charte, que seules 31 villes sur 63 ont pour l'instant signée. Ainsi, parmi les huit villes françaises membres de l'association, que sont Le Havre, Marseille, Paris, Saint-Etienne, Saint-Paul de Vence, Toulouse, Chartres et Lyon, seules les quatre dernières ont signé la charte vendredi dernier. Alexandre Colombani se dit cependant « relativement satisfait de le façon dont la charte a été reçue par les villes membres. » et « espère que l'ensemble des villes l'auront signée à la fin de l'année. » Lors de son assemblée générale annuelle, l'association a également accueilli son nouveau président, le maire adjoint de Glasgow Allan Stewart, qui succède à Jean-Michel Daclin, adjoint au maire de Lyon et fondateur de l'association. La ville de Gand a été élue à la vice-présidence.EALe site de l'association LUCIAlexandre Colombani