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Accueil > Actualités > Pollutions > Pic de pollution : deux applis pour limiter son exposition
POLLUTIONS

Pic de pollution : deux applis pour limiter son exposition

PUBLIÉ LE 8 DÉCEMBRE 2016
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
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Une application pour savoir quand prendre l’air ou faire son jogging sans s’intoxiquer aux particules fines ? Ça existe et c’est malheureusement bien utile actuellement, notamment dans la capitale. Deux applis récemment sorties proposent ce service : Itiner'air d’Airparif et Breathe Up du groupe de PME Tera.La première, gratuite, s’en tient à l’Île-de-France. Elle informe en temps réel le grand public, joggeurs, piétons, cyclistes, ou pourquoi pas les livreurs à vélo, sur le niveau de pollution de l’itinéraire qu’ils empruntent. Itiner'air calcule un « indicatif d’exposition » en fonction des concentrations horaires de dioxyde d’azote, de PM10 et d’ozone. « L’application s’appuie sur les cartes en temps réel Hor'air que nous publions avec une résolution de l’ordre de la dizaine de mètres », explique Amélie Fritz, chez Airparif.La seconde appli, Breathe Up vient de sortir sur les plateformes de Google et d’Apple, gratuite dans sa version basique. L’offre concerne ici tout le pays et est plus complète. Breathe Up promet en effet à ses utilisateurs non seulement des informations sur la qualité de l’air, mais aussi des recommandations personnalisées pour les aider à limiter leur exposition. « Breathe Up propose trois pages principales. La première donne le Airscore, un indice basé sur la concentration en polluants atmosphériques ainsi que sur l’activité et le profil physiologique de l’individu. La seconde affiche une cartographie régionale de la pollution de l’air et la troisième des recommandations personnalisées et des messages d’alerte différents en fonction de l’utilisateur et de son activité », détaille Pascal Kaluzny, président-fondateur du groupe Tera.Autant de services rendus possibles notamment grâce aux données… d’Airparif. Le groupe a en effet conclu à la mi-octobre un partenariat technique avec l’association agréée de surveillance de la qualité de l’air francilienne, mais aussi avec ses homologues Air Paca et Atmo Auvergne-Rhônes-Alpes, avec comme objectif final de couvrir tout le territoire. Pour sortir du lot et personnaliser au mieux l’information apportée, le groupe Tera mise ainsi sur la fiabilité des mesures des Aasqa tout en tissant sa propre toile : déploiement d’un réseau de capteurs atmosphériques moins précis que ceux des Aasqa mais venant compléter leur réseau, vente à venir d’objets connectés mesurant l’air intérieur ou encore instrumentation de lieux type hôtels, restaurants, salles de sport…Fabian Tubiana
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