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POLLUTIONS

Alternatives aux phytosanitaires : l’Inra remet un rapport au gouvernement

PUBLIÉ LE 22 FÉVRIER 2019
E.G
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Alternatives aux phytosanitaires : l’Inra remet un rapport au gouvernement
A la veille de l’ouverture du Salon international de l’agriculture qui se tiendra jusqu’au 3 mars prochain au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris, l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) a remis un rapport au ministère de l’enseignement supérieur, définissant les lignes directrices du programme de recherche intitulé « Cultiver et protéger autrement ».

Ce vendredi 22 février, l’Inra a remis un rapport sur le programme de recherche « Cultiver et protéger autrement » au ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. Ce programme a été annoncé en juillet 2018, et sera doté de 30 millions d’euros provenant du troisième Programme d’investissement d’avenir (PIA 3). « Le rapport propose une feuille de route claire et ambitieuse pour que la communauté scientifique élabore avec les acteurs du monde agricole de nouvelles pratiques alternatives à l’utilisation des produits phytosanitaires », explique l’Inra dans un communiqué.

Ce programme de recherche a pour but de s’appuyer sur les connaissances des plantes cultivées et leurs interactions avec le sol, afin « d’utiliser les services de la biodiversité pour stimuler les mécanismes de défense naturels au niveau de la plante, de la parcelle, du paysage et pour conduire les cultures », précise l’Institut de recherche. Par ailleurs, ce rapport prévoit le couplage de capteurs biologiques avec des systèmes d’intelligence artificielle « pour suivre en temps réel l’apparition et le développement des bioagresseurs et aider ainsi à la conduite des cultures », est-il précisé. L’exposition des travailleurs agricoles et des populations aux substances qui pourraient se substituer aux phytosanitaires sera également étudiée.

Un appel à projets sera lancé dès juin prochain. « Le pilotage scientifique du programme sera assuré par l’Inra pour le compte de l’ensemble de la communauté scientifique française et en interaction avec elle, en s’appuyant sur un comité scientifique international », précisent l’Inra et le ministère de l’enseignement supérieur.
Photo : Amazone / DR
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