Après avoir été attaqué pour « inaction climatique », l’État se voit accusé de « carence fautive ». La raison : une étude, publiée fin octobre par les chercheurs Gilles-Éric Seralini et Gérald Jungers, a trouvé des métaux lourds, de l’arsenic ou encore des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) dans 14 pesticides, non-déclarés sur leurs étiquettes. Il s’agit des seuls produits dont ils ont pu analyser la composition, présentés comme une alternative au glyphosate.
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