Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Pollutions > L'Union européenne veut améliorer son évaluation des risques de substances chimiques
POLLUTIONS

L'Union européenne veut améliorer son évaluation des risques de substances chimiques

PUBLIÉ LE 13 MAI 2022
A.A
Archiver cet article
L'Union européenne veut améliorer son évaluation des risques de substances chimiques
Crédit : Adobe Stock
Regroupant près de 200 partenaires, le Partenariat européen pour l’évaluation des risques liés aux substances chimiques (PARC) vise à produire de nouvelles données sur les expositions aux substances chimiques en intégrant l’approche « Une seule santé ».

Une large communauté de chercheurs, universitaires et d’agences sanitaires s’unissent dans PARC pour faire progresser la recherche et améliorer les compétences en évaluation scientifique des risques liés aux substances chimiques. Ce partenariat coordonné par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) pour un montant de de 400 millions d’euros, regroupe près de 200 partenaires de 28 pays et agences de l’Union européenne, pour établir une évaluation de nouvelle génération, intégrant à la fois la santé humaine et environnementale dans une approche « One Health ».

Le PARC ambitionne de contribuer à la stratégie européenne pour la durabilité dans le domaine des produits chimiques et à l’ambition « zéro pollution » du Pacte vert pour l’Europe. Pendant sept ans, les différents acteurs de l’évaluation des risques vont « unir leurs efforts au-delà des dispositifs et des calendriers associés aux différentes réglementations sectorielles » afin d’optimiser les ressources dédiées aux activités d’évaluation et de surveillance des risques chimiques et de produire de nouvelles données, ainsi que de nouvelles méthodes d’étude. Les partenaires développeront également des outils pour identifier de « nouvelles substances moins dangereuses et conformes aux approches de développement durable ».

Pour y parvenir, les acteurs engagés dans PARC s’appuieront sur les actions mises en place dans le cadre du programme européen sur la biosurveillance humaine Human Biomonitoring for Europe (HBM4EU), qui prend fin l’été 2022. Ils auront également accès aux travaux et les acquis d’autres projets européens tels qu’EuroMix, EU-ToxRisk, ou encore ceux des clusters EURION et ASPIS.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Un partenariat pour dépolluer les milieux aquatiques avec des cheveux recyclés
Un partenariat pour dépolluer les milieux aquatiques avec des cheveux recyclés
Jérôme Dufieux reconduit à la tête de l'Alcome
Jérôme Dufieux reconduit à la tête de l'Alcome
Des matériaux « prometteurs » pour dégrader les NOx
Des matériaux « prometteurs » pour dégrader les NOx
Ces émissions de méthane faciles à éviter pour lutter contre le changement climatique
Ces émissions de méthane faciles à éviter pour lutter contre le changement climatique
Tous les articles Pollutions
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS