Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Recyclage > Confiance maintenue dans la première SPL déchets de France
RECYCLAGE

Confiance maintenue dans la première SPL déchets de France

PUBLIÉ LE 18 JANVIER 2016
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Le choix, sans précédent en France, de créer une société publique locale (SPL) pour la gestion des déchets ménagers (Floriom) est-il le bon ? Oui, répond l'exécutif de l'EPCI concerné, la communauté de communes de la région de Guebwiller (Haut-Rhin) au bout d'un peu plus de deux ans de fonctionnement. « Ce mode a procuré 7 à 8 % d'économies par rapport au marché privé pour une qualité de service améliorée, avec une souplesse plus grande que la régie dans la gestion du personnel et l'organisation de travail », appuie Marc Jung, président de la collectivité de 40 000 habi-tants, principale actionnaire (78 %) de la SPL, dont le solde se répartit entre les 19 communes. Restant prudent toutefois, l'élu admet une certaine sous-estimation des coûts de fonctionnement. « Les élus ont aussi dû s'approprier le fait que la SPL n'était pas une régie, qu'elle a sa culture de gestion d'entreprise à développer », complète Christine Maranzana, vice-présidente à l'environnement. Floriom ne fait pas l'unanimité auprès d'eux, et le débat a été relancé cet automne à l'occasion du vote d'une dotation de 220 000 euros pour combler le déficit. « À compa-rer aux 11 millions d'euros de services », répond Marc Jung. La SPL a aussi investi 2,5 millions d'euros, principalement pour se doter de neuf camions. Ses 30 salariés s'occupent de la collecte sélective, du ramassage des OMR et des biodéchets en porte-à-porte, de la gestion des déchèteries et des points d'appor ts volontaires du verre. Mais Floriom a aussi élargi son champ, au nettoyage de voirie entre autres, et ce, d'emblée. Une montée en puissance par étapes aurait été préférable, reconnaît rétrospectivement son principal actionnaire. C.R.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Paprec lève un green bond de  200 millions d’euros
Paprec lève un green bond de 200 millions d’euros
Derichebourg Environnement ouvre une nouvelle usine de recyclage de câbles dans le Nord
Derichebourg Environnement ouvre une nouvelle usine de recyclage de câbles dans le Nord
Saint-Maclou choisit Urbyn pour une gestion plus durable de ses déchets
Saint-Maclou choisit Urbyn pour une gestion plus durable de ses déchets
Immersion dans les coulisses du reconditionnement de smartphones
Immersion dans les coulisses du reconditionnement de smartphones
Tous les articles Recyclage
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS