Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Territoires > Education
TERRITOIRES

Education

PUBLIÉ LE 1er SEPTEMBRE 2014
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
n° 1405333 et n° 1405335 Suspension des délibérations refusant l'application des nouveaux rythmes scolaires TA de Cergy-Pontoise, 24 juin 2014 Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise, saisi en référé par la préfecture des Hauts-de-Seine, a suspendu les délibérations refusant l'application des nouveaux rythmes scolaires prises par les communes d'Asnières-sur-Seine et Levallois-Perret. Dans son ordonnance, le juge des référés précise que si le Code de l'éducation prévoit que le maire peut modifier les horaires d'entrée et de sortie des établissements en raison de circonstances locales, ces dispositions ne donnent pas compétence aux communes pour organiser le temps scolaire en déterminant le nombre de demi-journées sur lesquelles sont réparties les 24 heures hebdomadaires d'enseignement. Le tribunal administratif de Strasbourg a également suspendu, le 11 juillet 2014, l'exécution d'une délibération similaire prise par la municipalité de Colmar. Rappelant que de surcroit la légalité du décret n° 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l'organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires a été confirmée par la décision du 2 juillet 2014 du Conseil d'Etat (n 367179 et 367190), le juge des référés a considéré qu'un acte par lequel une autorité administrative refuse explicitement d'appliquer une norme supérieure qui s'impose à elle constitue un acte inexistant. Il résultait des motifs et du dispositif de la délibération contestée que le conseil municipal de Colmar entendait refuser d'appliquer la réforme des rythmes scolaires et notamment « maintenir le principe de quatre matinées de cours ». Dès lors, le juge des référés a considéré que le moyen tiré par le préfet du Haut-Rhin de l'incompétence de la commune de Colmar pour organiser la répartition hebdomadaire des enseignements scolaires paraissait, en l'état de l'instruction, de nature à créer un doute sérieux quant à légalité de la délibération attaquée. Par suite, il a prononcé la suspension de l'exécution de l'acte déféré.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Scolytes : un plan d’urgence du gouvernement pour aider la filière forêt-bois
Scolytes : un plan d’urgence du gouvernement pour aider la filière forêt-bois
Trophées Eco-actions : 12 collectivités récompensées
Trophées Eco-actions : 12 collectivités récompensées
Un gel pour traiter les sols contre les effets de la sécheresse
Un gel pour traiter les sols contre les effets de la sécheresse
L’agriculture bio perd encore du terrain
L’agriculture bio perd encore du terrain
Tous les articles Territoires
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS