Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Territoires > Gestion des eaux pluviales urbaines : une compétence privée de son financement
TERRITOIRES

Gestion des eaux pluviales urbaines : une compétence privée de son financement

PUBLIÉ LE 1er OCTOBRE 2015
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Décret n° 2015-1039 du 20 août 2015 relatif au service public de gestion des eaux pluviales urbaines Un décret vient préciser les modalités d'application de l'article L.2226-1 du Code général des collectivités territoriales (CGCT) en décrivant les missions que doit assurer la commune ou l'établissement public compétent en matière de gestion des eaux pluviales urbaines. Pour mémoire, la loi de finances pour 2015 a supprimé la taxe sur la gestion des eaux pluviales et abrogé pour ce faire les articles L.2333-97 à L.2333-101 du CGCT. Les dispositions relatives au service public de gestion des eaux pluviales urbaines que comportaient ces articles «ont été déplacées au sein de l'article L.2226-1», rappelle le ministère de l'Ecologie. Le décret reprend en conséquence les termes des anciens articles L.2333-99 et R.2333-139 du CGCT, s'agissant en particulier du contrôle des dispositifs évitant ou limitant le déversement des eaux pluviales dans les ouvrages publics. En revanche, le texte prend acte de l'abandon de son financement par la taxe sur la gestion des eaux pluviales pourtant instaurée depuis près de dix ans. Aux côtés de la «taxe de trottoirs» ou encore de la taxe «Grenelle 2» participant au financement des transports publics, elle figure sur la liste des «taxes à faible rendement» supprimées en loi de finances. En réalité, seules deux communes l'ont mise en place. En cause la complexité de son assiette fondée sur la superficie cadastrale des terrains, déduction faites des surfaces non imperméabilisées, selon un tarif fixé par la commune. Le système d'abattements - en fonction de la présence ou non de dispositifs limitant le rejet d'eaux pluviales hors du terrain - avait quant à lui le mérite d'intéresser les propriétaires au contrôle.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Catastrophes naturelles : modification des conditions d’indemnisation
Catastrophes naturelles : modification des conditions d’indemnisation
Toulouse installe son dispositif pour rafraîchir la ville
Toulouse installe son dispositif pour rafraîchir la ville
Une appli pour l’anthropocène
Une appli pour l’anthropocène
Un ascenseur à eaux usées inauguré au pied du Mont Blanc
Un ascenseur à eaux usées inauguré au pied du Mont Blanc
Tous les articles Territoires
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS