Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Biodiversité > Patrimoine naturel : INPN Espèces, la nature en bas de chez soi
BIODIVERSITÉ

Patrimoine naturel : INPN Espèces, la nature en bas de chez soi

PUBLIÉ LE 6 JANVIER 2017
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
« Explorer de façon ludique la biodiversité autour de soi. » Non, il ne s’agit pas du projet de « Pokemon Go de la biodiversité » que soutient le ministère de l’Environnement dans le cadre de la Greentech verte, mais de l’application INPN Espèces plus de 10?000 fois téléchargée depuis mai 2016. À l’intérieur : les 35 millions de données régulièrement mises à jour de l’Inventaire national du patrimoine naturel. « Cette application est la seule à couvrir tous les groupes taxonomiques de France, de métropole, mais aussi de tous les départements et territoires d’outre-mer », assure Laurent Poncet, directeur adjoint du service du Patrimoine naturel du Muséum national d’histoire naturelle et coordinateur du projet.L’appli s’ouvre sur un mur d’images, photos des espèces présentes autour de soi parmi lesquelles on peut désigner celles déjà observées et le faire savoir sur les réseaux sociaux. Pour chacune, une fiche descriptive synthétique ainsi qu’un lien direct vers la base numérique de l’INPN, plus complète et adaptée à la lecture sur tous les écrans. « L’application cible le grand public, mais naturalistes ou professionnels l’utilisent également, souvent pour se remémorer un statut de protection... », précise Laurent Poncet. Le développement de la couche applicative n’a coûté que 15?000 euros au Muséum, mais la vraie valeur d’INPN Espèces réside dans le travail de fourmi effectué sur le terrain pour collecter, gérer et consolider les données. Une version 1.1 doit sortir à la mi-décembre et une version 2 mi-2017.Fabian Tubiana
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Sécurité des routes et respect de la biodiversité
Sécurité des routes et respect de la biodiversité
Un premier fonds biodiversité dédié à l’éolien en mer
Un premier fonds biodiversité dédié à l’éolien en mer
Le centre de contrôle national dédié à l’environnement marin inauguré dans le Morbihan
Le centre de contrôle national dédié à l’environnement marin inauguré dans le Morbihan
La biodiversité et le génie écologique font salon
La biodiversité et le génie écologique font salon
Tous les articles Biodiversité
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS