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La Grande-Bretagne mise gros

PUBLIÉ LE 13 AVRIL 2015
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
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La Grande-Bretagne avance dans le financement de la transition énergétique. La « Green Investment Bank », la structure créée par Londres pour orienter des financements publics vers des projets d'énergies renouvelables, a déjà levé près de la moitié des ressources destinées à son fonds dans l'éolien offshore : 463 millions de livres sterling (environ 634 millions d'euros) ont ainsi été apportées par des investisseurs institutionnels britanniques, mais également par un fonds souverain étranger, sur un objectif total d'un milliard. La Green Investment Bank a injecté pour sa part 200 millions, puisés dans les trois milliards de livres de dotations initialement apportées par la Grande-Bretagne en 2012 lors de la création, dans la foulée de « l'Energy act », de la Green Investment Bank. Son fonds est la toute première structure au monde qui se consacre à l'investissement dans l'éolien en mer. Quand le milliard de livres sera atteint, le fonds deviendra même le plus grand investisseur britannique dans les énergies renouvelables. Il dispose d'une durée de vie de vingt-cinq ans et pourra se financer par la suite sur les marchés financiers. Deux actifs ont d'ores et déjà été transférés au fonds : Rhyl Flats, un champ de 90 MW (25 turbines) opéré par RWE Innogy UK, ainsi que Sheringham Shoal (317 MW, 88 turbines) exploité par Statkraft. Mais il devra rapidement accélérer la cadence s'il veut aider la Grande-Bretagne à tenir ses engagements. Sa loi de 2008 sur le changement climatique impose au pays de réduire de 80 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2050. Le coût de sa transition énergétique est estimé à plus de 320 milliards de livres (435 milliards d'euros). Pour cela, et compte tenu du potentiel offert par ses côtes, la Grande-Bretagne mise prioritairement sur l'éolien offshore. Il concentrera 80 % des investissements de la Green Investment Bank, le solde allant vers les biocarburants, la biomasse et les énergies marines. JD
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