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EAU

Suez Environnement prône le dialogue

PUBLIÉ LE 31 JANVIER 2012
LA RÉDACTION
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Le magazine des professionnels de l’eau et de l’assainissement.
Défi démographique, eau et agriculture, accès à l’eau et l’assainissement et changement climatique, des défis majeurs seront à relever par le secteur de l’eau dans l’avenir. Ce qui implique, pour Bernard Guirkinger, directeur général adjoint de Suez Environnement, une position de dialogue renforcée avec les parties prenantes du groupe (collectivités, agriculteurs, PME ou société civile). « Le modèle économique sur lequel s’est créé la prospérité du monde occidental est à bout de souffle. C’est un constat, un modèle qui créée des inégalités croissantes, de revenus et de patrimoine, ne peut pas être durable. Idem sur le plan environnemental, puisqu’il épuise les ressources fossiles de la planète. Pour rester le plus compétitif, Suez Environnement  se prépare dès aujourd’hui aux marchés de demain, en  aidant ses clients à  gérer les ressources de manière durable et à limiter leurs impacts environnementaux », souligne Bernard Guirkinger. Création d’une direction des relations sociétales, instances de dialogue interne et externe, contrats sur-mesure (contrats de management, contrats d’alliance ou joint-venture à l’international…), l’offre du groupe tente de se structurer depuis dix ans autour du dialogue. En France, avec son programme d’idées neuves sur l’eau, Suez a réuni en deux ans 100 000 contributions extérieures et convoqué 700 élus lors de 15 forums régionaux. En découle un nouveau contrat pour la santé de l’eau lancé en novembre dernier qui engage l’opérateur privé sur 3 piliers, gouvernance, innovation et économie vertueuse de l’eau. Concrètement, le groupe s’engage par exemple à mettre en œuvre un comité de surveillance co-piloté par l’autorité publique, à partager ses profits avec les collectivités ou à indexer une partie de la facture sur ses performances, principalement environnementales. Le volet gouvernance donne également lieu à une nouvelle charte de gouvernance, intégrable pendant la durée du contrat via un nouvel avenant. La ville de Laon(02) sera la première à la signer le 2 février prochain.   En affichant des pratiques de plus en plus « challengées », en accordant plus de moyens de contrôle aux collectivités, le groupe cherche évidemment à redonner confiance dans le modèle de gestion déléguée à la française, qui essuie ces derniers temps dans le pays de sérieux revers d’image. Et la procédure lancée le 18 janvier dernier par la Commission européenne a encore relancé le débat autour des pratiques anticoncurrentielles des 3 multinationales françaises. De son côté, Suez réaffirme sa sérénité quant aux suites de cette affaire.Site du groupe
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