Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Eau > Les profils de vulnérabilité conchylicoles démarrent
EAU

Les profils de vulnérabilité conchylicoles démarrent

PUBLIÉ LE 1er AVRIL 2012
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Hydroplus
Le magazine des professionnels de l’eau et de l’assainissement.
Après les zones de baignade, les zones conchylicoles doivent, elles aussi, établir des profils de vulnérabilité. Certes, les échéances réglementaires sont fixées à l'horizon 2013, mais la Basse-Normandie, première région conchylicole française, s'en préoccupe déjà. Ainsi, sur financement de la Dreal et de l'agence de l'eau Seine-Normandie, le PNR des marais du Cotentin et du Bessin a confié aux bureaux d'études Ginger et Safège la réalisation du profil de la baie des Veys, à cheval sur la Manche et le Calvados. La durée de l'étude, un an, et son montant, 377 000 euros, s'expliquent par la complexité hydrodynamique de la baie. « La Baie des Veys est un milieu fermé avec une courantologie complexe, une multitude de rejets côtiers et une forte concentration de zones de production », explique Clément Nalin, chargé de mission eau au PNR. Il s'agit d'identifier et de quantifier les sources de pollution et de modéliser tous les écoulements autour de la baie pour déterminer un plan d'actions et des procédures d'alerte. « Le travail est plus complexe que sur les zones de baignade car aux critères microbiologiques s'ajoutent des paramètres physico-chimiques et la question de la bioaccumulation. Non seulement, il faut pouvoir trouver quels paramètres influent sur la qualité de l'eau, mais aussi pour combien de temps », précise Vincent Salbert, responsable de la direction environnement et ingénierie maritime de Ginger. Et l'enjeu n'est pas seulement réglementaire, mais surtout financier. « Les travaux à faire se compteront en millions d'euros, d'où la nécessité de savoir quoi faire, où et dans quel ordre », ajoute Jean Duchemin, chargé de mission eau et santé de l'agence de l'eau Seine-Normandie.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
La CACG devient Rives & Eaux du Sud-Ouest
La CACG devient Rives & Eaux du Sud-Ouest
Eaux pluviales : le drainage qui se fond dans le décor
Eaux pluviales : le drainage qui se fond dans le décor
Avis des pros | La récupération de l’eau de pluie devient incontournable
Avis des pros | La récupération de l’eau de pluie devient incontournable
Quand la rosée se transforme en eau
Quand la rosée se transforme en eau
Tous les articles Eau
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS