Bus, autos, tramways d'un côté. Modes partagés, dont l'autopartage et le covoiturage, de l'autre.
Derrière cette distinction un brin facile, le besoin de cohérence se fait sentir. C'est tout l'intérêt de cet ouvrage écrit par des experts du Cerema. Car qu'ont au juste de nouveau ces services incluant transport à la demande (TAD) et vélos en libre-service (VLS) ?
Quel modèle économique, quels usages, quels coûts cachés, quels emplois créés et quelle évaluation ? Quelques pistes : mieux travailler sur la complémentarité en espaçant les stations des derniers grâce aux apports des premiers, sortir le TAD de sa stratégie de niche, renforcer le rôle du conseil en mobilité, lutter contre l'éparpillement de l'offre de covoiturage...
Et traduire le tout en actions. l