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Accueil > Actualités > Politiques > Dominique Royet, ou la conviction d’être utile
POLITIQUES

Dominique Royet, ou la conviction d’être utile

PUBLIÉ LE 20 JUILLET 2015
LA RÉDACTION
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Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Pas de doute, Dominique Royet est à sa place. « J’ai toujours eu le souci de l’utilité publique. Alors intégrer cette ONG, c’était pour moi l’endroit le mieux placé pour agir », estime-t-elle. Cette diplômée d’une école de commerce avait pourtant commencé par une carrière plus classique de marketing et de communication au sein de grandes entreprises de loisirs comme Disney. « C’est à cette époque que j’ai rencontré le patron du WWF qui m’a fait comprendre que mon bagage pouvait aussi être appliqué à des causes utiles. Cela a été une révélation ». Embauchée par l’association de protection de l’environnement pour développer la marque WWF des produits, elle y restera dix ans. « Il y a eu là-bas des rencontres avec des gens extraordinaires, Pierre Rabhi, Jean-Marie Pelt qui m’ont véritablement influencée, je dirais même sur le sens spirituel de ma vie ». Durant cette période, elle développera aussi en pionnière des partenariats stratégiques avec les grandes entreprises du Cac 40. « J’ai pu constater la pression des grandes entreprises sur la chaîne d’approvisionnement et l’importance d’orienter leur stratégie vers des pratiques durables ». En 2008, Dominique Royet saute donc le pas et s’associe à la création du cabinet conseil Altadev en tant que spécialiste des politiques RSE des entreprises et des ONG. Promouvoir le commerce équitable chez Max Havelaar France, c’est donc une nouvelle étape toute en cohérence pour cette alter-consommatrice convaincue. L’antenne française du réseau international se porte bien avec une hausse du chiffre d’affaires 2013 des produits labellisés Fairtrade/Max Havelaar de 9 %. « Nous allons poursuivre en ce sens avec l’objectif d’améliorer la connaissance du label par le grand public et de le sensibiliser au pouvoir de son choix ». Aujourd’hui, les Français achètent en moyenne 4 produits labellisés par an ; soit une prime de 4 millions d’euros reversée aux producteurs. Avec 5 produits par habitant, ce serait 1 million de plus. AD
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