Aux côtés de la neige ou du gel, la canicule entre dans la liste des intempéries reconnues en France comme motif de chômage technique pour les ouvriers du bâtiment, à la suite d’un décret publié le 28 juin.
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Dans le cadre d’un « chômage intempérie », les salariés seront indemnisés à hauteur de 75 % de leur salaire. « Le versement final correspond plutôt à 50% de la rémunération », précise à l’AFP Frédéric Mau, secrétaire fédéral de la CGT Construction, en raison de la perte des « indemnités de repas ou de déplacement ».