Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Pollutions > Bilan Airparif 2014 : 2,3 millions de franciliens victimes d'une mauvaise qualité de l'air
POLLUTIONS

Bilan Airparif 2014 : 2,3 millions de franciliens victimes d'une mauvaise qualité de l'air

PUBLIÉ LE 19 MAI 2015
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Les cinq coupables qui asphyxient plus de 2,3 millions de franciliens et 9 parisiens sur 10 : particules (PM10 et PM 2,5), dioxyde d'azote (NO2), ozone et benzène. « La baisse reste insuffisante pour ces cinq polluants, notamment le long des axes à fort trafic. Pour les PM10 et le dioxyde d'azote, les valeurs limites sont même dépassées de manière récurrente. Rappelons que Bruxelles a enclenché en avril un contentieux portant sur les PM10, notamment en Île-de-France. Un autre devrait bientôt suivre pour le NO2 », remarque Frédéric Bouvier, directeur d' Airparif. Mais le tableau n'est pas tout noir : d'autres substances comme le dioxyde de souffre, le plomb ou le monoxyde de carbone restent sous la barre réglementaire. La tendance générale est en outre à la baisse par rapport à 2013, grâce à des conditions météorologiques favorables. Seize pics ont ainsi été enregistrés, contre 36 en 2013. Mais au-delà de la gestion des pics de pollution et de la mise en place d'une circulation alternées jugée efficace, c'est d'actions aux effets permanents dont a besoin le ciel francilien. « Nous sommes actuellement en discussion avec la mairie de Paris pour évaluer pendant plusieurs années, à une échelle territoriale qui reste à déterminer, l'efficacité de son plan antipollution annoncé en début d'année », indique Frédéric Bouvier. Malgré des inquiétudes sur l'évolution d'un budget déjà sérieusement amputé cette année par l'Etat, l'Association agréée de surveillance de la qualité de l'air (Aasqa) continue d'assurer ses missions d'information et de surveillance. Elle poursuit ainsi l'analyse de la composition des particules, le développement de son outil « Hor'air » d’évaluation de l’exposition individuelle et ses travaux sur les pesticides dont les premiers résultats seront dévoilés à la rentrée.FTLe site d'Airparif
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Glyphosate : des ONG attaquent en justice sa réautorisation
Glyphosate : des ONG attaquent en justice sa réautorisation
PFAS : un «  flagrant manque d’anticipation » de certains industriels ?
PFAS : un « flagrant manque d’anticipation » de certains industriels ?
Un partenariat pour dépolluer les milieux aquatiques avec des cheveux recyclés
Un partenariat pour dépolluer les milieux aquatiques avec des cheveux recyclés
Marie-José Yvon-Passenaud : « Il nous faut enclencher une nouvelle dynamique »
Marie-José Yvon-Passenaud : « Il nous faut enclencher une nouvelle dynamique »
Tous les articles Pollutions
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS